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Monopodes

Monopodes (illustration de Pauline Baynes)

Les Monopodes sont des nains à une jambe qui vivent sur l'île de Coriakin. Ils ne sont pas très intelligents et ne font que suivre les ordres de leur chef à la lettre.

Description physique[]

Les Monopodes ressemblent en tout point à des nains de Narnia, exception faite pour leur unique jambe, que l'on décrit comme énorme, au point qu'ils peuvent l'utiliser comme une sorte de canoë.

Autrefois, ils étaient de vrais nains, mais après s'être rebellés contre Coriakin, celui-ci leur donna cet unique pied. Après ceci, les Monopodes se rendirent invisibles grâce à la sorcellerie de Coriakin, mais cet enchantement fut levé par Lucy Pevensie lors de l'Odyssée du Passeur d'Aurore.

Histoire[]

Les Monopodes étaient, à l'origine, des nains, dont l'étoile Coriakin avait la garde. Ne possédant pas une grande intelligence, les monopodes faisaient sans cesse des bêtises. A un certain moment, ils décidèrent de se rebeller contre la tyrannie de Coriakin, qui ne souhaitait en fait que les aider, et furent ainsi transformés en créatures unijambistes.

Rejetant leur nouvelle apparence, ils décidèrent de se rendre invisible, en utilisant une incantation contenue dans un livre de Coriakin, qui subit lui aussi cet enchantement. Plus tard, les monopodes se fatiguèrent de leur invisibilité et capturèrent la Reine Lucy pour la forcer à défaire le sortilège.

Dans la version du film Dysney de L'Odyssée du Passeur d'Aurore, c'est Coriakin qui a rendu les monopodes invisibles, pour les protéger des pouvoirs maléfiques du brouillard vert.

Caractère[]

Les Monopodes étaient des esprits plutôt faibles qui suivaient aveuglément les ordres et leur discours de leur chef. Sans être de mauvais esprits, ils étaient plutôt lâches et prêt à affirmer n'importe quoi, du moment que cela venait de quelqu'un d'autre. Ainsi, ils étaient capables d'affirmer et de soutenir chaque cotés dans une argumentation, se rangeant systématiquement du coté de celui qui venait de parler. De même, ils acclamaient sans cesse ce que disait leur chef, l'interrompant au milieux de ses phrases pour l'acclamer.

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